La destruction par la joie

Une chapelle de l'église de Notre Dame de Malines après le passage des Allemands

Les Allemands ne se contentaient pas de faire une guerre "propre", celle des armes. La destruction des lieux saints comme les églises ou les couvents, l'incendie des bibliothèques universitaires telle celle de Louvain, si ce ne sont des localités entières, l'exécution sans sommation des habitants des villages constituaient un de leurs passe-temps favoris encouragés en cela par leurs supérieurs. 

Leur devise : "La destruction par la joie..."

Tout ce qui devait demeurer, après les premiers jours d'octobre, d'un couvent de Termonde incendié par l'ennemi avec une partie de la ville; une statuette de la Sainte Vierge miraculeusement épargnée par le feu.