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Les ennemis des Allemands vus par eux

Nos adversaires
Aujourd’hui, nous sommes confrontés à des peuples divers et à des dirigeants divers. L'étude de l'importance de nos ennemis et de leurs machinations pourrait bien s'imposer, après une année de guerre qui nous a donné l'occasion de les observer.LES FRANCAIS.
En face de nous, il y a des Français, un peuple avec d'anciens restes de culture et composé de certaines ethnies dont l'influence s'exerce encore aujourd'hui. Dans leur disposition et leur comportement à la guerre, les Français du Nord sont très différents des Français du Sud. Chez les premiers, on trouve, suite aux migrations germaniques, un grand nombre d'hommes de grande taille à l'apparence germanique, tandis que le sud ne présente presque que des personnages sombres et petits. Par conséquent, la vertu et l'ordre des soldats se sont encore mieux maintenus chez les Français du Nord. Les Bretons et les régiments d'infanterie de marine originaires de Normandie se sont particulièrement distingués en résistant à nos attaques malgré les pertes qu'ils ont subies. Chez les Français du Sud, l'indiscipline et l'amertume ne sont pas rares ; comme leurs voisins italiens, ils sont grande gueule et lâches.Chez les Français du Sud, l'indiscipline et l'amertume ne sont pas rares ; comme leurs voisins italiens, ils sont grande gueule et lâches. Chez les Français du Sud, l'indiscipline et l'amertume ne sont pas rares ; comme leurs voisins italiens, ils sont grande gueule et lâches.  Un médecin français de la 4e compagnie du 6e régiment du génie écrit dans son journal tombé entre les mains des Allemands:
"Les blessés sont le plus souvent - et c'est le plus révoltant - accompagnés de deux ou trois camarades qui ne sont ni plus ni moins que de misérables tire-au-flanc. Ce sont des soldats du Sud. Le plus honteux, c'est le pillage. Les soldats enfoncent les portes et boivent tout le vin et l'alcool qu'ils trouvent : ils pillent même les bijouteries. Ce ne sont plus des personnes, ce sont des animaux devenus sauvages. Un fantassin du 17e corps, qui fuyait lâchement partout sans combattre, se vantait d'avoir tué des Allemands blessés à coups de pied. Les troupes du Sud sont odieuses ! » Les mêmes rapports faisant état de pillages commis par les troupes françaises dans leurs propres villes sont également souvent reçus des habitants. Lorsqu'en avril 1915, lors du chargement des troupes, un train sanitaire arrivant du nord est arrivé, les troupes du sud de la France se sont mutinées. Selon un article du Berliner Tageblatt du 28 avril 2015, "les blessés gisaient sur de la paille pourrie et dans un état des plus tristes, sans soins et sans défense".

À l'exception des généraux Foch et Pfau, les commandants militaires français ont davantage de sang français du Nord, ce qui ajoute un peu plus de calme à leurs actions téméraires. Le Généralissime Joffre est même décrit ainsi par son ami d'enfance Rocheblave : "Un homme blond, calme, tranquillement supérieur. Grand, fort et solide, un peu imposant. Les yeux sont bleus, avec une expression merveilleuse... On devine derrière le masque dur et masculin, la douceur enfantine d'un bon cœur.... Dans sa jeunesse, le gigantesque Catalan, dans son éloquence douce et calme, ressemblait complètement à un nordiste, et ses camarades de l'époque l'appelaient en plaisantant le « Wisigoth ». Les peuples auxiliaires français se sont révélés être cruels et indisciplinés, des brûleurs de meurtre, des pillards et des profanateurs ; leur infériorité correspond à leur caractère racial noir. Lors de la bataille de Meuse-Vosges, ils causèrent bien des dégâts par leur fuite paniquée et désordonnée (Echo de Paris, août 1914).

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