Première Guerre Mondiale

Durant la première Guerre Mondiale, les chiens sanitaires se sont révélés comme de précieux auxiliaires pour la recherche de blessés graves sur les champs de bataille.

Le "420" était une pièce maîtresse de l'artillerie allemande ayant causé beaucoup de dégâts aux forts défensifs du nord de la France et de la Belgique.

Lettre d'un militaire blessé qui envoie à son destinataire une pellicule de photos en lui faisant connaître la description de ses clichés.

L'automobile au service de l'armée allemande.

Un Allemand établi dans une ferme en France préparait l'invasion des Allemands. Il les renseignait grâce à son installation de télégraphie sans fil...

Les blessés sur le front de la Première Guerre Mondiale reçoivent les premiers soins sur place; mais leur évacuation est souvent nécessaire. Les trains sanitaires, bien équipés, contribuent à cette évacuation vers l'intérieur du pays.

Amis ou ennemis, il fallait les reconnaître. Grâce à ces planches, ils identifieront rapidement ceux qui se battent avec eux ou contre eux.

Un chien de guerre nommé Roland. Il accompagnait son maître jusqu'à ce qu'il soit blessé et blessé lui-même à une patte par un éclat d'obus.

Le style architectural allemand ne convient pas à tous les Alsaciens pendant la période d'annexion de 1870 à 1918; Hansi ne manque pas de se moquer gentiment de ce bâtiment avec son humour habituel.

Les Alsaciens sont toujours restés fidèles à la France et certains ne s'en cachaient pas au risque de se voir condamnés.

"Mon régiment" décrit par Hansi avec sa verve habituelle.

Jean Jacques Walt était pour les allemands un traître. Il les détestait, les méprisait et ne se gênait pas de le montrer par ses dessins.